Comment gagner à tous les coups ? 

Voici le plus grand secret des courses…

Vous misez 10 €. Si vous gagnez, pas de problème, vous rejouez 10 €.

Sinon, vous devez regagner ce que vous avez perdu.

Voici comment faire :

Vous commencez par enlever 1 de la cote du cheval à jouer, puis vous divisez le total de votre besoin (perte ou perte+bonus) par ce chiffre.

Perte (+gains)
cote – 1

Imaginons que vous vouliez seulement récupérer votre perte (10 €), et que votre cheval est à la cote de 3,20.
Cela donne : 3,20 – 1 = 2,20 puis 10 / 2,20 = 4,55 €.

Ainsi, votre mise rapportera :
4,55 x 3,20 = 14,55 soit les 10 perdus + les 4,55 misés.

Vous voulez récupérer votre perte (10) + 10 de bonus => total 20.
Cela donne : 20 / 2,2 = 9,10 €.

Ainsi, votre mise rapportera :
9,10 x 3,20 = 29,10 soit les 20 + les 9,10 misés.

Si vous perdez de nouveau, vous faites le total de vos pertes,
plus un éventuel bonus et vous calculez :
10 (du premier pari perdu) + 9,10 (du 2ème pari perdu) / 2,2 = 8,70

Et ainsi de suite…

Génial, non !

Vous réalisez : quelle que soit la situation, vous gagnez à tous les coups !

Il suffit d’ajuster votre mise à vos pertes et aux cotes.

J’ai découvert la gestion des mises dans les années 80. J’étais fou de joie. Mais cette joie a été de courte durée.

Voici la progression des mises sur 20 courses :

10
13
28
63
142
320
721
1 622
3 649
8 211
18 474
41 566
93 523
210 426
473 459
1 065 284
2 396 888
5 392 999
12 134 247
27 302 055

Après 30 pertes, même Bill GATES ne pourrait plus miser (900 milliards).

Bon, à ma connaissance, l’écart maxi du premier favori sur la course du quinté n’a pas dépassé 11, mais … c’est déjà des mises cumulées de 33 252 € !!!

Le deuxième problème est, lui, insoluble : le montant des enjeux.

En effet, si vous misez 30 000 € sur un montant d’enjeux de 100 000 €, vous allez faire chuter la cote et perdre encore plus.

Et si nous devenions un peu plus … malin !

Vous savez qu’à long terme vous retrouverez 90 % de votre investissement.

L’objectif de votre gestion des mises est donc de compenser uniquement les 10 % manquant.

Vous jouez 100, Vous perdez. Combien devez-vous miser ?

Tu veux en savoir plus ? ↓ ↓ ↓

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Un commentaire ?

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  1. Dans quelle course faut-il jouer ?
    la plus richement dotée ou l’inverse ?
    Partant du principe que dans la plus richement dotée, il y aura certainement des chevaux de même valeur, alors qu’un cheval supérieur aura toutes les chances de gagner plus que son avoine, sans
    risques.

  2. Réponse à la question :
    « L’objectif de votre gestion des mises est donc de compenser uniquement les 10 % manquant.Vous jouez 100, Vous perdez. Combien devez-vous miser ? »
    Pour récupérér 10% de la perte (10€) et gagner 10€ :
    (10) + 10 de bonus => total 20.
    Cela donne : 20 / 2,2 = 9,10 €.

  3. Slt
    Quel pronostiqueur, pourrais-je me servir de jouer un combiné de 8 chevaux pour toucher la tirelire ?
    Merci !

  4. BONSOIR

    Sur la confusion corrélation-causalité, l’humoriste Coluche est une source inépuisable de « raisonnements » fantaisistes. Se faire les dents avec ses blagues est un excellent exercice : on les retrouve sous la plume de gens qui sont loin d’être des humoristes volontaires !!!

    On peut ainsi discuter les affirmations suivantes : « Quand on est malade, il ne faut surtout pas aller à l’hôpital : la probabilité de mourir dans un lit d’hôpital est 10 fois plus grande que dans son lit à la maison ».

    Ou bien : « 1/3 des accidents de la route étant dus à des conducteurs alcooliques, qu’est ce qu’on attend pour punir les 2/3 de conducteurs sobres responsables de la majorité des accidents ? »…

    Plus sérieusement maintenant.

    Une étude anglaise a prouvé que les gens habitant près de pylônes à haute tension étaient significativement plus souvent malades que le reste de la population. Est-ce la faute du courant électrique ? Ce n’est pas évident parce qu’une autre étude a révélé que les habitants sous les pylônes étaient en moyenne plus pauvres ; et on sait les liens santé-pauvreté… À elle seule, cette étude ne permet pas de conclure.
    Les assurances ont établi que 50 % des accidents arrivaient sur un trajet de moins de 30 km. On en a conclu – un peu vite – que l’habitude des courts trajets pour aller travailler favorisait le manque d’attention des conducteurs. Il est possible que ce soit vrai, mais la « démonstration » est fausse : la plupart des trajets font moins de 30 km !
    Le conseil de l’Ordre des médecins a publié une étude prouvant que ceux qui pratiquaient régulièrement le jogging à l’âge de 60 ans avaient une probabilité de se trouver en bonne santé à l’âge de 70 ans plus grande que la population normale. Conclusion de l’Ordre, le jogging est une bonne pratique. Il est encore possible que ce soit vrai, mais ce n’est pas une démonstration : la population qui pratique le jogging à 60 ans concentre ceux qui sont déjà en bonne santé. On a donc seulement prouvé que ceux qui sont en bonne santé à 60 ans ont plus de chance de l’être encore 10 ans plus tard.
    On conclura donc que deux événements peuvent être corrélés (reliés) sans pour autant avoir des rapports de cause à effet. Par exemple, on ne meurt pas plus parce qu’on est dans un lit d’hôpital, mais on y est parce qu’on est malade, et quand on est malade la probabilité de mourir est plus grande. Il en va ainsi des corrélations délinquance et origine ethnique : même à supposer qu’elles soient vraies, elles ne démontrent pas le rapport de cause à effet ; il peut se faire que la pauvreté, voire la détresse, soient liées à des discriminations ethniques, c’est alors cette misère qui est une cause possible de délinquance.

    Démontrer une théorie avec seulement des statistiques peut être trompeur. Souvent la théorie préexiste et les chiffres sont ensuite utilisés pour la conforter « scientifiquement ». Trois mises en garde s’imposent :

    il faut toujours vérifier que les données sont significatives. En nombre, comme on l’a vu, c’est évident ; mais aussi en qualité. Par exemple, l’affirmation suivante est stupide : les employés sont paresseux car les demandes de congé maladie concernent prioritairement, en moyenne, les jours de week-end, la veille ou le lendemain. En effet si on suppose les demandes équiréparties (donc sans volonté de triche), celles qui tombent dans la fourchette critiquée sont au nombre de quatre (vendredi, samedi, dimanche, lundi), ce qui fait déjà une probabilité de 4/7 ;
    la théorie doit avoir un pouvoir explicatif, ne serait-ce que pour savoir dans quel sens lire les corrélations. Il est par exemple maintenant bien établi qu’historiquement les variations de température sont étroitement liées aux variations de concentration de gaz carbonique dans l’atmosphère. Mais on ne peut faire l’économie de comprendre par la théorie si c’est le réchauffement qui crée l’excès de gaz carbonique, ou l’inverse ;
    enfin, même si la moyenne est significative, son exploitation peut être délicate. La connaissance de la moyenne est importante, mais tout aussi important est de savoir si les résultats seront souvent loin ou proches de cette moyenne. Dire par exemple qu’avec tel cancer on a en moyenne 5 années à vivre ne suffit pas ; il faut encore connaître la dispersion : savoir si beaucoup de gens dépasseront cette moyenne (évidemment d’autres alors mourront plus tôt !). Il en va de même du revenu moyen des individus d’un pays : il peut y avoir beaucoup de pauvres et quelques individus colossalement riches assurant un revenu moyen finalement « raisonnable » dans un pays globalement misérable.
    Terminons par une remarque sur la trop fameuse « loi des séries ». Elle n’existe tout simplement pas. Souvent invoquée en cas de catastrophes quasi simultanées (accidents d’avions, crimes, etc.), elle a pour origine la croyance que s’il se produit, par exemple, en moyenne 12 crashs aériens par an, il s’en produira globalement un par mois. Il y aurait alors besoin d’une « loi » pour expliquer pourquoi il n’en n’a pas été ainsi. Si on demande de dessiner 12 dates d’accident « au hasard » , la grande majorité des gens dessinera quelque chose comme T1. Demandons la même chose au calculateur, on obtiendra T2.

    T1 . . . . . . . . . . . .
    T2 . . … . … .. .

    Tirages de 12 points « au hasard » : T1 , tirage « humain », T2, tirage à la machine.

    La différence saute aux yeux. Le tirage « humain » est beaucoup plus régulier, presque équiréparti. Tout se passe comme si le tireur, après avoir tiré un point, décrétait une zone d’évitement autour de ce point pour les tirages suivants. Comme il sait qu’avec un nombre suffisamment grand de points, le segment de droite sera uniformément rempli, il anticipe pour ainsi dire en ne laissant aucun trou. En fait, les tirages deviennent alors corrélés ; ils ne sont plus indépendants. La machine, qui n’a pas de psychologie, n’anticipe pas. Elle permet des accumulations et donc des vides de points. Conclusion : si vraiment les accidents arrivent par hasard (T2), on voit alors qu’on peut avoir 3 accidents en un mois, précisément parce qu’il n’y a pas de loi. C’est pour avoir la distribution T1 qu’il en faudrait une !

    Ne jamais oublier que le hasard n’a ni mémoire ni conscience !!!

    D’autre part le hasard n’intervient qu’un peu (pas trop) dans les courses
    de chevaux ,contrairement au loto,euro millions etc etc…
    BONSOIR

  5. Mais si …
    Utilisez une régression de type Y=aX+b ( je vous parle de statistique ).
    Le point FONDAMENTAL est de savoir sur quoi l’appliquer…
    Cette régression a une valeur prédictive très importante,il suffit de regarder le coéfficient de corrélation,trouvé pour cette régression,si il est de l’ordre de 0.95 c’est très bon, si 0.99 c’est excellent.
    Attention de ne pas faire l’erreur habituelle qui est faite par 99% des
    Gens,qui confondent corrélation et relation de cause à effet.
    Voila, si vous trouvez à quoi l’appliquer, vous allez voir, c’est MAGIQUE!!!
    Bonne soirée…

  6. Bonjour,
    Cette méthode est elle valable pour le jeu simple place, et éventuellement, comment calculer la cote placée.
    Bien cordialement.
    Annick

    1. Bonsoir Annick
      La technique statistique dont je parle, basée sur l’utilisation d’une
      droite de régression du type y=ax+b avec un coefficient de corrélation
      de l’ordre de 0.95 voire de 0.99 a une valeur prédictive énorme…
      Pas besoin d’un mega logiciel de statistique,une simple calculatrice
      scientifique suffit pour calculer le coefficient de corrélation,mais
      un bon logiciel de stat c’est mieux.
      Ce type de régression s’applique sur le jeu simple gagnant ou placé,
      et aussi sur les couplés.
      Par contre il s’agit de déterminer,sur quoi appliquer ce calcul,
      le secret est la…
      Bonsoir.

  7. J’ai joué il y a longtemps pendant trois ans (du temps, dans les années 80, où il y avait « que » 3 tiercés par semaines). Je me suis fait pendant trois ans un 13° mois. J’avais une sélection de journaux qui obtenaient une bonne réussite avec leur premier cheval au tiercé. Je jouais celui pour qui il fallait aller chercher l’avant-dernier pronostic à l’arrivée le plus lointain. En bref, j’essayais de profiter du retour de forme d’un pronostic après période de méforme. J’espérais que des séries de bons pronostics courtes viendraient après un écart anormalement long. Quant aux mises je m’en sortais avec une montante « arithmétique ». Je jouais 12 euros 50 (500 francs belges) jusqu’au moment où je gagnais.
    Au premier gain je faisais mes comptes. Si je gagnais je recommençais à 12 euros 50. Sinon je passais à 25 euros. Et là, même chose au premier gain je faisais mes comptes. Si je gagnais je recommençais à 12 euros 50. Sinon je passais à 37 euros 50.
    Et ainsi de suite , de 12 euros 50 en 12 euros 50. Cette méthode permets de tenir de longs écarts, parce qu’elle est arithmétique et qu’elle augmente les mises APRES une sortie. Ce qui permets de tenir des écarts longs.
    Ceci dit, j’ai arrêté. Mon travail est devenu plus irrégulier (journée, soirée, nuit) et, très curieusement l’augmentation des tiercés a rendu tout cela très contraignant. J’ai dû je crois arrêter après un … gain.
    J’avais misé 125 euros sur ioki (un trotteur qui faisait sa rentrée!) et celui-ci est venu « mourir dans la photo ». Il faisait 4,10 à la place.
    Ouf! En cas de perte ma série continuait à 1255 euros mais aurait sûrement dû passer à la première sortie à 137, 50.
    Le défaut de cette méthode était que des écarts étaient souvent cassés par des hyperfavoris (au trot souvent) qui faisaient monter les mises.
    Mais maintenant que l’on a le « confort d’internet » je songe à revenir à cette montante…
    La tentation lorsqu’on a une méthode qui marche c’est de monter les mises pour gagner plus. Résister à cette tentation.
    Le « grand écart » viendra un jour…

  8. Bonjour à vous,

    C’est exactement le même piège qu’à la roulette en jouant, par exemple, les égalités.

    Bien amicalement,

    Elena.

    1. Bonjour Elena.
      Et oui, absolument !
      Les casinos (surtout en ligne) ont tous un plafond des mises assez bas.
      Lorsque vous arrivez à ce plafond, vous perdez tout.
      Tous ces sites qui vous offrent GRATUITEMENT une méthode pour gagner au casino sont payés par les casinos pour chaque inscription.
      Attention, danger !
      Merci pour cette info.

  9. Bonjour,
    Alors moi je suis novice en la matière (et blonde en plus 😉 ) mais si je suis votre raisonnement sur « comment gagner à tous les coups », j’arrive au même résultat avec des montants et côtes différentes, pas de problème, mais ce que je ne comprends pas c’est que par exemple, vous dites « votre mise rapportera 14,50 soit les 10 perdus et les 4,55 misés » jusque là çà va, mais si effectivement je mise 4,55 euros sur un jeu simple à 1,5 euros, cela veut dire que je fais trois mises à 1,5. Si à l’arrivée du cheval gagnant ce dernier rapporte par exemple 2,25 euros par mise, il me rapporte 3 X 2,25 = 6,75 et non les 14,50 dont vous parlez. Je sais qu’il y a beaucoup de critères qui rentrent en ligne de compte mais de 6,75 à 14,50, la différence est grande.
    Bref si vous pouviez m’éclaicir sur ce point, çà m’aiderait beaucoup à comprendre votre raisonnnement et çà m’agace de ne pas avoir réussi. Merci pour votre réponse. Cdlt.

    1. En fait j’ai eu la réponse à ma question !! il suffisait que je joue une fois pour comprendre. Merci.

      1. Bonsoir Monsieur Ramos.
        Effectivement, je pense que nous sommes tous tombés dans le piège au moins une fois.
        Le but de cet article est précisément de l’éviter aux novices.
        Ne suivez pas de montante, vous perdrez tout.
        Merci.

        1. EXACT Monsieur1 //
          A moins d’être plusieurs,plusieurs,plusieurs fois milliardaire
          Ou bien d’avoir des fonds quasi inépuisables.
          C Q F D
          Bonsoir.

    2. Bonjour Marie.
      Ah … les blondes !
      Bon. Si j’ai bien compris la question ( je suis aussi « un peu » blond ! ), vous pensez que le rapport peut être différent de la cote.
      Il faut savoir que la cote est, aujourd’hui, affichée en NET.
      Par exemple, si la cote est à 3,60, le rapport sera de 3,60.
      Cela permet de savoir, à l’avance, combien le cheval « payera ».
      Donc, dans l’exemple, le cheval payera 3,20, pas 2,25 (soit 4,55 x 3,20 = 14,55).
      Par contre, vous avez raison, la cote finale est souvent différente de la cote au moment du pari. C’est pourquoi il « faudrait » jouer au dernier moment. Juste avant le départ de la course.
      Je dis bien : « il faudrait » car le but de cet article est de vous éviter ce type de « piège ».
      Les montantes « sèches » sont des jeux très risqués, à éviter.
      Merci pour votre commentaire et à bientôt.

  10. Bonjour,

    Oui, après l’écart 12, on arrive au plafond des mises et c’est la fin du jeu avec une perte de 14990 euros. Cela montre pour moi qu’une montante en perte est très dangereuse et un jour ou l’autre, elle fait perdre le capital jeu du joueur. Ce n’est plus un investissement mais un jeu inéquitable avec une perte assurée.

    Souvent, on peut trouver des sélections qui annoncent un écart maxi faible qui n’est jamais dépassé. Pour moi, cela ne veut pas dire grand-chose. En effet, en théorie plus on joue, plus on a de risques d’augmenter l’écart maximum qui bien entendu peut se produire à tout moment. Un jour ou l’autre, une sélection au jeu simple placé qui a eu sur le passé (même de plusieurs années ; cela dépend du nombre de chevaux sélectionnés par an) un écart ne dépassant pas 5 par exemple dépassera l’écart 10.

    On peut rappeler la formule suivante qui donne une bonne idée de l’augmentation de l’écart en fonction du nombre de jeux :
    P Ecart direct= Pg*(1-Pg)Puissance Ed
    Avec Pg=probabilité de gagner 1 coup joué
    Ed=valeur de l’écart direct
    P=prédiction avec 3 chiffres après la virgule

    Une autre idée :
    Même si je ne l’ai pas expérimenté aux courses hippiques, je suis persuadé qu’un arrêt en perte (perte maxi fixée à l’avance qui met fin à la montante en perte) compense à la longue les gains et on arrive au mieux à équilibrer le jeu sans être bénéficiaire. J’ai expérimenté cela à la roulette il y a bien longtemps déjà.

    En conclusion, je suis partisan d’un jeu à masse égale avec capitalisation pour augmenter la mise en fonction des bénéfices (si bénéfice il y a).
    Une gestion des mises en fonction de l’écart peut être intéressante si ce n’est pas une montante en perte ou en gain. Le but étant d’éviter tout emballement des mises et d’arrêter de jouer si la sélection n’est plus rentable. Augmenter les mises lors d’écarts faibles pour les diminuer rapidement si l’écart se prolonge me semble intéressant, mais cela signifie que la sélection n’est plus en forme ou n’est plus rentable et il faut attendre ou trouver une autre sélection.

    Merci de me donner votre avis.

    1. Bonjour Michel.

      Voici beaucoup de questions et de suppositions dans un même commentaire, mais, par principe, le jeu soulève de nombreuses questions et bien plus encore de suppositions.

      Un écrivain que j’aime beaucoup explique que tout apprentissage passe par 3 stades :
      1 – nous prenons conscience de notre incompétence
      2 – nous apprenons consciemment
      3 – nous réussissons inconsciemment

      Prenons l’exemple du vélo. Au début on pense que c’est facile. On essaye et on tombe (prise de conscience de notre incompétence). On va donc apprendre. Mais, aussi longtemps que l’on « pense » aux pédales, au guidon, à l’équilibre… on ne SAIT pas faire du vélo. C’est seulement lorsque l’on cesse d’apprendre, que l’on OUBLIE la théorie et la technique, que l’on se lance, qu’enfin, on roule FACILEMENT.

      Je ne dis pas qu’il est aussi facile de gagner, mais que l’apprentissage est le même.

      Vous découvrez les courses. Vous jouez. Vous perdez (prise de conscience de votre incompétence). Notez que certains en reste à ce stade. Comme la chute n’est pas trop douloureuse, ils recommencent.

      Etape suivante, vous apprenez. Comme le jeu est très compliqué, il faut apprendre beaucoup de choses. Notez que certains en reste là, apprenant toujours, réfléchissant aux pédales, au guidon, à l’équilibre… Ou bien ils suivent uniquement les pronostics, sans chercher à comprendre. Ce sont les petites roulettes sur les côtés du vélo, qui empêchent de tomber 🙂

      Enfin, quelques-uns, rares, passent à l’étape suivante. Le plus difficile étant de savoir à quel moment on en sait suffisamment pour se lancer !

      Vous trouverez dans les articles déjà publiés ou à venir les réponses à toutes vos questions.

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