Tu cherches une bonne méthode pour gagner aux courses hippiques ?

Tu devrais lire, jusqu’au bout…

Il existe deux types de paris au PMU (ou autres bookmakers).

  1. les paris à rendement (je te donne la solution pour gagner un peu plus loin)
  2. les paris à fonds perdu (je te donne 2 ou 3 conseils en fin d’article)

Les paris à rendement

C’est le jeu simple (gagnant ou placé), et au pire, le couplé.

L’idée est de parier comme si c’était un business.

Tu investis, tu bosses (tu fais tes sélections) et tu essayes de faire un bénéfice.

Le problème, c’est que tous les joueurs font la même chose.

Ils cherchent à devenir des « experts », des pros du turf.

Ils construisent des bases de données sur toutes les courses passées.

Ils analysent chaque cheval en détail.

Qui est le propriétaire, l’entraîneur, le driver ou le jockey du jour ?

Combien fait-il au chrono ?

Aime-t-il cette piste, la température, l’humidité ?

Le cheval est-il en forme, vient-il pour gagner ou « faire le tour » ?

Est-il déferré ? A-t-il couru récemment ? Quelles sont ses dernières perfs ?

Bla, bla, bla … (je sais de quoi je parle, je l’ai fait pendant des années)

Le problème, c’est qu’ils cherchent quel cheval a le plus de « chance » de gagner.

Sauf que le PMU, et autres books ont compris… depuis longtemps.

Plus le cheval a des chances, plus sa cote diminue (donc, plus tu perds).

Alors évidemment, quelques autres chantent en coeur : il faut trouver le bon « outsider », le tocard « magique », le cheval « miracle » et bla bla bla...

Sauf que 2 millions de parieurs cherchent l’outsider, le tocard, le miracle, et perdent… jusqu’à leur chemise.

En vérité :

il ne sert strictement à rien de chercher quel cheval va gagner !

Relis !

Relis encore !

Relis une dernière fois !

OUI, je sais. Cela a l’air complètement idiot, stupide, débile… mais c’est VRAI !

Si tu cherches les gagnants, tu vas peut-être gagner aujourd’hui, mais pas demain, ou pas après-demain, et sur 100 courses, tu n’es pas rentable.

La rentabilité maximum d’un cheval « normal » est de 80/90%. Tu perds 10 à 20% de tes mises.

La seule solution, c’est de chercher le ou les chevaux r-e-n-t-a-b-l-e-s (les chevaux anormaux, ceux dont le rendement est au-dessus de 100).

Et c’est tout. Rien d’autre ne fonctionne !

Il ne sert à rien de devenir un expert du turf.

Il ne sert à rien de faire toujours les mêmes analyses sur 40 ans de données (qui s’appuient sur la continuité)…

Il ne sert à rien de suivre toutes les courses, tous les chevaux, tous les drivers/jockeys, entraîneurs… ça n’est pas rentable !

Qu’un cheval soit déferré, driver par machin, qu’il ait telle musique, qu’il soit dans telle ou telle situation… n’a absolument aucune importance.

Il faut juste qu’il soit rentable, et cela n’a rien à voir avec le hippique.

A partir de quel moment un cheval est-il rentable ?

Voilà LA question. Point !

Comment on fait ?

Ça, c’est le secret de ceux qui gagnent de l’argent régulièrement au jeu simple !

Le problème c’est que, si je te dis comment je fais, moi, dans une semaine, on sera 500 à faire les mêmes paris.

Fin de la rentabilité !

La seule et unique solution pour que tu gagnes, TOI, c’est de trouver TA méthode, à toi.

Je te donne plein d’indices sur ce site et quelques idées par email (si tu t’inscris).

Lis, réfléchis !

 

Les paris à fonds perdu

Ce sont tous les paris à combinaisons : tiercé, quinté et autres.

Là, tu ne cherches pas à être rentable. Tu perds pendant des années, en attendant le GROS COUP !

Il faut en être conscient, et l’accepter, tu joues à fonds perdu.

Par contre, tu peux augmenter considérablement tes « chances » si tu ne fais pas n’importe quoi.

Parce que, encore une fois, tu fais probablement comme tout le monde.

Tu cherches LES chevaux qui ont le plus de chance de gagner. Tu joues en flexi pour augmenter tes « chances ».

La bonne base de 2, 3 ou 4 chevaux, et tu ajoutes des ânes, avec l’espoir que l’un d’eux va arriver.

Mais ça ne fonctionne pas, sinon tu ne serais pas en train de lire.

Tu serais sur une plage, tranquille, au soleil, à déguster un cocktail !

Alors, comme pour le jeu simple, je vais te donner 2 ou 3 conseils.

Le premier est assez logique : tu joues pour gagner le jackpot, donc, ne fais pas de petits paris, joues uniquement au quinté et ne divises pas tes gains (pas de flexi).

Le deuxième est du même genre, ne joue pas dans les 8 premiers favoris. C’est ce que tout le monde fait, ça ne rapporte rien.

Ensuite, il y a 2 solutions pour gagner gros au quinté :

  1. la tirelire
  2. les gros rapports

Pour la tirelire, ne cherche pas un miracle. Si c’est du trot, joue 4 favoris en champ réduit (ou total) .

Si c’est du plat, complique un peu ton jeu.

Pour les gros rapports, la première chose à faire est de calculer, avant la course, s’il y aura des surprises.

Ensuite, il faut bien comprendre que les arrivées à gros rapports  ne sont pas si « exceptionnelles« . Les arrivées avec 5 outsiders sont très rares (et impossibles à prévoir).

Il y a une méthode de calcul assez simple qui permet de savoir si un pari est dans la bonne « tranche » (bonne combinaison de favoris/outsiders/tocards).

Je la fournis aux inscrits par email.

Voilà. Je pense avoir été franc (peut-être un peu trop).

Bien sûr, tu peux te dire que je suis un peu (beaucoup) débile. Et quitter cette page en te disant que tu aurais mieux fait de suivre ton petit train-train quotidien. Faire comme les 3 ou 4 millions de joueurs, qui perdent, chaque jour, jour après jour, avec les bonnes méthodes, les vraies, celles des pros du hippique (du hi-te-pique tes sous :-)).

Ou bien alors, tu te dis qu’il y a peut-être un peu (ou beaucoup) de vérités dans tout ce que je te raconte.

Réfléchis !

Quoi que tu penses et fasses, pour moi, ça ne change rien. Par contre, pour toi, ça peut TOUT changer.

Et que la chance soit avec toi !

 

 


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