Il a fait trembler le PMU (suite et analyse)

Avant de lire cet article, vous devez lire le premier en cliquant ici

Quelles étaient les méthodes de Patrice des Moutis ?

Pourquoi a-t-il fait trembler le PMU ?

J’ai repris des paragraphes de l’article en rouge, en soulignant la partie importante expliquée ensuite.

Des Moutis : j’ai noté tout cela, l’énorme cagnotte, les prélèvements modérés et la masse des petits enjeux sans chances. Et je me suis dit que c’était un filon et que ce serait un crime de ne pas en profiter (…).

Vous êtes sur ce site parce que vous avez compris que la grande masse des paris au hasard (date de naissance, horoscope et autres) alimente les gains de ceux qui jouent plus professionnellement.

Notez tout de même qu’aujourd’hui, on fait croire à beaucoup de parieurs qu’ils jouent de manière professionnelle. Alors qu’il s’agit de show-biz. Favori fabriqué. Faux tocard. Jockey star…

Il se lance donc le 11 novembre 1958, sélectionne la favorite de l’épreuve Messeniala met en tête de toutes les combinaisons.

Globalement, quel que soit le type de course, le (vrai) favori est TOUJOURS celui qui a le plus gros potentiel, et qui arrive (souvent) en tête.

Ensuite, il raye neuf chevaux qui ne lui paraissent avoir aucune chance.

Nous entrons là dans l’une des plus importantes découvertes de Monsieur X, que je vais détailler dans un prochain article.

De tiercé en tiercé, Des Moutis perfectionne son système : plus d’enjeux sur des courses soit trop aléatoires, soit aux résultats trop prévisibles.

Monsieur X a été le premier à utiliser les filtres.

Trop aléatoires = trop de risques.

Résultats trop prévisibles = petit rapport = trop petit rendement du capital (gain/mise).

Sa rentabilité est d’environ 10 % à 20%, plus qu’aucune banque ne serait disposée à verser.

Intéressant !

Fin novembre 1961, Des Moutis a l’occasion de faire toucher du doigt la justesse de son raisonnement.

Tiercé à Auteuil, un faux toquard Le Ponant II qui a de fortes chances de se retrouver dans le tiercé gagnant, …

Déjà à l’époque, il y avait un peu de show-biz et des faux tocards !

… un favori incontestable Explorateur II et treize partants seulement. Notre homme bâtit un certain nombre de tiercés à partir de ces deux chevaux, ….

Il s’agit là du premier système réducteur, découvert il y a 50 ans !

Notez aussi les 13 partants seulement.

Patrice des Moutis utilisait également les calculs de statistiques et probabilités pour établir ses jeux. Notamment les calculs bayésiens qu’il maîtrisait bien pour les avoir utiliser dans l’estimation des risques d’assurance.

Je vous expliquerai, dans différents articles, les utilisations possibles de ces théories.

7 commentaires

  1. C’est intéressant. Merci de nous donner l’occasion de connaître l’histoire et les méthodes de Monsieur X ,le vrai…

  2. Bonjour monsieur je trouve que ces découvertes sont très géniales mais difficiles à comprendre mais ça vaut le coup d’apprendre.merci.

  3. Je joue depuis trente ans ; les courses ont beaucoup évolué depuis , elles sont désormais difficiles à déchiffrer . Les causes sont multiples et diverses …

  4. selon moi, le seul allié aux courses c’est son intuition et l’étude des diverses paramètres qui font une couse ( objectif, poids +/-, valeur, D4, aptitudes diverses , forme etc …)

  5. Cest le nombre de joueurs qui determinent la cote. Ce sont les joueurs qui déterminent vos « faux tocards » et « favoris ». Vous radotez un peu quand même.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *